Cuisine

« Si le rire est le propre de l’homme, comme l’écrit justement Rabelais, le repas l’est tout autant, même s’il est des plus simples comme c’était le cas dans mon enfance. »

Recettes préférées:

La Flamiche comme on l’a fait dans le Nord !

  • Faire fondre dans un bol de lait chauffé (tiède), le 1/3 de levure: d’abord mettre la levure puis verser le lait + 1 sucre. Laisser reposer 6′. (À la surface du lait, la levure mousse!)
  • Dans une jatte, 200gr de farine, 1 pincée de sel, 1 œuf entier et le bol lait + levure.
  • Faire fondre 1 cuillère de beurre. Le beurre fondu, mélanger tout avec une fourchette. La pâte devient onctueuse, épaisse.
  • Beurrer la tourtière, saupoudrer de farine. Avec la spatule, étaler la pâte.
  • « Éplucher » le Maroilles. Disposer les « épluchures », recouvrir de crème fraîche et poivrer.
  • Au four 180° pendant 20 minutes.

Merci Aline Dubois.

La Soupe aux fèves.

  • Faire tremper +/- 400gr de fèves pendant 24 heures.
  • Remettre les fèves sans sel dans l’eau frémissante. Arrêter à la 1ère ébullition, passer, égoutter.
  • Faire cuire dans l’eau chaude salée avec la viande (plat de côte froide, jarret de bœuf chaud), laurier, oignon avec clous de girofle et bien sûr…ail! Au moins 2 heures!
  • Puis, ajouter peu de patates (4-5), 4 poireaux, 1 oignon, céleri rave en petits morceaux, 2 à 3 branches de céleri vert et 1 cuillère à café de sarriette. Cuire pendant 1 heure.
  • Après, ajouter 2 cubes de bœuf…et puis… « manger! »

Matoufé ou Matoufet d’après les gens de Famenne, cela peut également se manger sucré.

  • Couper 200gr de lard salé en cubes (choisir un entrelardé assez gras.)
  • Mélanger 4 cuillères à soupe de farine avec 1/4 de lait et 1/4 d’eau. Poivrer, saler (modérément, à cause du lard!)
  • Mettre le tout dans une casserole ou une poêle à fond épais.
  • Ajouter 8 œufs entiers (pour cette proportion-là, j’en mets seulement 5. Je trouve que l’œuf domine trop!)
  • Faire cuire à feu vif, en touillant sans cesse, pendant 10 minutes pour ôter le goût de farine.

Merci chère Colette Demez.