Pierre dubois

« Pierre m’avait écrit dans un premier temps et je n’avais pas répondu car sa lettre c’était une bafouille de plusieurs pages au texte fleuri – il l’avouera plus tard – « l’envoi d’un illuminé à la limite d’une incohérence grandiose ». Un an après, il me téléphone. Il voulait me rencontrer. On a dîné et c’est à l’occasion de ce repas que s’est nouée une amitié qui ne s’est pas démentie depuis 1973. »